Evolution des modèles SOLIDO transcrite sur les Châssis

Après la Mercédès, Solido redescend vers les mini-voitures avec cette NSU à la bouille bien sympathique, évoquant une Chevrolet Corvair en réduction ! DINKY TOYS (F) avait reproduit cette dernière en 1961 (réf. 552); faut-il alors y voir, de la part de Solido, une "réplique" en manière de clin d’œil ?...  (Catal. : 1963 - 1966)
En voici toujours un remarquable exemplaire dans une couleur peu courante :

mermiche a écrit:

Rentrée dernièrement, une jolie bleue pas très courante
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En voici le châssis :

Raymond Peygond a écrit:

Un châssis nu NSU faisant partie d'un lot découvert par Azéma à l'usine dans les années 80.

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Voici, côte à côte, la Corvair Dinky et notre petite NSU; un indéniable air de famille, non ?...
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La re-création de cette NSU, conformément à l'originale, est parue en nov. 2019 dans la série Club "Solido: Série 100" sous le n° [3] (127). Voici cette jolie version, et son châssis qui, par rapport à l'original, a vu disparaître la mention "Made in France"   :

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DALIA produisit ce modèle sous la réf. [28] (1963). En voici une version décorée :
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Ce modèle a un châssis portant les noms des deux firmes :

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Brosol ne la produira pas, mais elle fera un stage chez Dynam (réf. 13).


En 1989, la NSU fut rééditée subrepticement par SOLIDO sous sa marque, semble-t-il suite à une sollicitation de l'importateur allemand, dans une mini-série de quelques modèles (livrés apparemment en boîtes Vérem). Cette version (réf. ("Dynam") 13) est intéressante, car elle hérite naturellement des modifications du moule opérées pour la Dynam, affectant les passages de roues AV et AR. Elle se présente uniformément peinte, sans aucune touche de finition, équipée, comme la Dynam, de roues de Carabo (172). Il y eut 2 coloris; en voici une rouge :

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Ci-dessous une comparaison directe des modèles 127 et "13", mettant bien en évidence l'agrandissement des passages de roues :
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Ces modifications irréversibles du moule expliquent que le modèle ne fut jamais réédité à l'époque moderne.

Pour comprendre son châssis, il faut d'abord présenter celui de la DYNAM :

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La refonte du "Made in France" fait jour à 2 hypothèses : le moule est parti au Brésil, y a été transformé (avec "Ind. Bras."), mais n'y a finalement pas été produit; ou bien, plus simplement, lors du remplacement de "Solido" par "Dynam", il a été jugé plus esthétique de regrouper "Dynam / Made in France" sur un seul pavé, en réduisant la taille du "Made in France"...
Les mentions de brevet, en bas, sont supprimées (remplacées par la nouvelle réf. Dynam "13"), ainsi que la réf. Solido (127) et la date. Le "1/43" est conservé, ce qui n'est pas le cas sur toutes les Dynam...

Le châssis de la SOLIDO "13" en dérive directement, par simple "surcharge" de "Dynam" par "Solido" (premier type) :
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Est-ce encore le fruit de la "petite guerre" (courtoise...) entre nos deux grands fabricants, jouant, cette fois, à front renversé ?... DINKY TOYS (F) avait sorti en 1961 une Ford Thunderbird (modèle 1958; réf. 555) en version cabriolet, apanage traditionnel de Solido... En 1963, SOLIDO réplique par... une Ford Thunderbird (mod. 1961), en coupé ! Encore deux magnifiques modèles parfaitement complémentaires... Grâce aux coffrets, la Ford Solido (qui y remplace le cabriolet 1955 d'origine "Junior") figurera au catalogue jusqu'en 1979.
Un joli échantillon de couleurs :

Invité a écrit:

3 t brid : 2 rouges et la verte version démontable, avec boites d'origine :
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:)

Ce modèle présente la particularité d'avoir vu son châssis modifié très tôt. Voici la première version, où "Solido", etc, est lisible de l'avant vers l'arrière du châssis (correspond à un modèle à phares peints en doré uniquement) :

Panpan a écrit:

Ces T-Bird sont magnifiques.
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Dès 1963, pour une raison quelconque, l'ensemble du pavé central "Solido", etc., a eté retourné à 180°, se lisant désormais de l'arrière vers l'avant (visible sur TOUTES les variantes du modèle) :

tino a écrit:

une jaune :
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Côte à côte, le cabriolet 1958 (Dinky) et le coupé 1961 (Solido) :
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DALIA produisit ce modèle sous la réf. [31] (1963 ?), avec un châssis bi-marque, et des apports intéressants par rapport au modèle français...
En voici un fort bel exemplaire, avec son châssis particulier (et unique) :

rincon a écrit:

Parmi les différences avec le modèle français, on note les feux arrières "diamants" !

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En mars 2020, le Club SOLIDO ressort ce modèle avec toit "vinyl". Voici ce modèle (dont le châssis, du premier type, a perdu son "Made in France" !) [première photo ci-dessous : kiosques.doc] :

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Auparavant, en 1985, SOLIDO avait sorti la version cabriolet de cette même Thunderbird, dans la série 4500 (Sixties), sous la réf. 4504. Mais à partir d'un tout nouveau moule... et c'est aussi le début d'une autre histoire !

JCGY a écrit:

Apparu au catalogue Solido en 1985: Ford Thunderbird cabriolet "1961".
Réf. 4504 cabriolet découvert
Réf. 4505 cabriolet couvert
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SOLIDO ne manque pas de reproduire l'une des premières Ferrari de la catégorie Sport à moteur arrière; le n° de course "152" indique la voiture ayant remporté la Targa Florio 1962, aux mains de l'équipage Mairesse / R. Rodriguez / Gendebien. (Catal. : 1964 - 1968).
En voici 2 beaux exemplaires, montrant les 2 types de roues ayant équipé ce modèle :

mermiche a écrit:

Reçu ce matin la version B avec les jantes décolletées, à comparer à celle à rayons moulés. Ici avec sa boîte type IV (jaune dessin bleue).
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Voici son châssis :

tino a écrit:

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DALIA reprend ce modèle sous la réf. [32]; en voici un beau trio :

peugeot203 a écrit:

Leur référence n'est pas 129, mais 32...
et ce ne sont pas vraiment des Solido...
mais elles sont belles !
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Le châssis du modèle DALIA est orné des noms des 2 marques :

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En 1992, SOLIDO produit une série "Ferrari" de 12 modèles différents (réf. [7173]), dont la 246 SP, qui se présente ici doté de roues à rayons (et sans pilote) :
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Pour comprendre son châssis, remontons un peu le temps... Le moule n'est pas parti outre Atlantique, mais a été "récupéré" par Vérem qui ressortit en 1986 ce modèle en duo avec la Porsche 550 (réf. [904]/(129)). À cette occasion, le châssis est modifié par remplacement de "Solido" par la marque "Vérem" :

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Pour la réédition "Ferrari" chez SOLIDO, la marque "Vérem" fut à son tour remplacée par le troisième logo "Solido" :
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Solido ressortit ce modèle en 1995 dans la série "1100" (Nostalgia), sous la réf. [1108](129); noter qu'il retrouve son pilote :
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Le châssis de ce modèle diffère du précédent par l'ajout, en bas, de la mention "Réédition" commune aux modèles "1100" :
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En 1963, Aston Martin remplaça sa DB4 par la DB5; sans heurt stylistique, car la DB5 ressemble beaucoup à la dernière DB4 (série V), avec ses phares carénés. La version Vantage, plus puissante, est une rareté fabriquée à... 65 exemplaires !
SOLIDO a dérivé ce modèle de sa DB4 ([111]), par modification irréversible du moule. (Catal. : 1964 - 1967)
En voici un remarquable échantillonnage :

Invité a écrit:

Une petite photo groupée de mes variantes! il m'en manque encore gggrrr Quelle bonheur de découvrir les versions qu'on n'a pas   Vite la prochaine
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Photo du châssis :
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Voici la nouvelle DB5, à côté de l'ancienne DB4 :

arehobby43 a écrit:

Achetée à la Bourse de Lille-Lesquin, voici ma nouvelle DB 5, avec la DB 4 jaune que je possédais déjà.
vert métallisé - intérieur rouge.
Elle est comme neuve mais sans boîte.
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Succédant aussi à la DB4, la DB5 fut produite par DALIA sous la même réf. [26] (1964 ?). En voici un exemplaire typique avec sa décoration (fantaisiste !) du "Saint"; le châssis du modèle comporte les noms des deux firmes :

jmdma a écrit:

Mes DB5 Vantage... [...] Les Dalia: civile, course (décalques de la Porsche Le Mans  et le Saint...à défaut de Volvo...   )
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La DB5 ne fut rééditée que par Vérem (1986, réf. [420] (130)), sous deux variantes successives : d'abord une version à la carrosserie moulée d'une pièce (comme l'originale); puis en 1988, avec calandre, pare-chocs et phares rapportés. Voici cette dernière et attrayante version :
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... et le châssis (vissé) des versions Vérem, où  un pavé "Vérem" a remplacé "Solido" :
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Un cabriolet en résine, annoncé dans le série "2000" de Vérem, ne parut finalement pas.


Chez SOLIDO, le modèle est ressorti en 2020 dans la nouvelle collection "Solido: Série 100" du Club. Voici cette nouvelle version [photo : kiosques.doc], suivi de son châssis (d'où la mention "Made in France" a disparu...) :

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2 types de chassis : droit et courbé :

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Chassis noir sur les dernières versions à ma connaissance uniquement en version "courbé" :

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psevin a écrit:

La DB5 ne fut rééditée que par Vérem (1986, réf. [420] (130)), sous deux variantes successives : d'abord une version conforme à l'originale,

Elle ne devrait pas être conforme à l'originale, il manque un épisode : Après son retour d'Argentine, Solido va réutiliser en 1976 la carrosserie en coffrets. Elle sera modifiée au cours de cette période.

psevin a écrit:

La DB5 ne fut rééditée que par Vérem (1986, réf. [420] (130)), sous deux variantes successives : d'abord une version à la carrosserie moulée d'une pièce (comme l'originale)

Amusant la méthode pour escamoter une partie de l'histoire du moule
Voici le maillon manquant dans l'historique Solido avec les montants de portières élargis, les moulures sur le bas de caisse, ...
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Châssis vissé noir et courbé à l'avant pour épouser la forme de la carrosserie, comme sur les derniers modèles sertis.
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Exact !... Mais je ne voulais pas ici réécrire en.... "je ne sais quoi" (!) le gigantesque travail d'Azéma !...
Dans mon petit préambule, j'avais dit que je ne souhaitais pas prendre en compte de simples "évolutions purement techniques", telle qu'est (pour moi...) l'incorporation à un coffret type "Weekend" ou "Caravaning" (.... auxquels j'avoue que, jusqu'ici, je n'avais d'ailleurs jamais vraiment prêté attention ! ).
... Hormis le cas de l'Alfa 2600, que j'ai volontiers intégrée après coup !
D'ailleurs, Azéma traite ce type de variante "technique" dans le corps même des articles concernant chaque modèle, et, une fois encore, je ne souhaite pas retranscrire ici ce qu'on trouve dans ses livres, mais plutôt retracer une sorte d'historique des modèles à travers ses diverses mises en production dans le temps...

Et, d'ailleurs, tout expert peut intervenir ici après coup pour apporter tout complément qu'il juge utile...

PS : J'ai tout de même apporté une modif, pour ne pas "induire d'erreur"... Je pense que ce sera mieux comme ça, en effet...

Poursuivant sa lignée de monoplaces, SOLIDO reproduit ici la voiture qui conduisit Graham Hill au titre mondial en 1962. La version choisie, spectaculaire, est celle qui pointe ses échappements vers le ciel, tels des tuyaux d'orgue... (Catal. : 1964 - 1969)
En voici un exemplaire de couleur classique, servi par une mise en image superbe :

Panpan a écrit:

Une verte foncée classique mais je dois avouer un faible pour les vertes présentées plus haut...
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En voici le châssis :
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La BRM ira faire un tour chez DALIA sous la réf. [38], avec un châssis français.
Elle inaugure aussi, chez BROSOL (1971), la reprise désormais régulière du catalogue Solido...

.... Puis le modèle disparaît définitivement des radars.

Au tournant des années '60, une vague rétro sembla inonder le petit monde de la miniature au 1/43. Cela commença dès 1958, lorsque simultanément, NOREV lança la série "Moyen-Âge" de voitures anciennes en plastique, et RAMI une gamme "métal" semblable inspirée principalement par les modèles du musée de l’automobile de Rochetaillée (musée H. Malartre). Suivirent en 1961, SAFIR en France, et RIO en Italie, produisant des modèles détaillés munis de nombreuses pièces rapportées. En 1963-1964, c'est l'explosion du marché, avec l'arrivée de DUGU en Italie, en Allemagne GAMA (série Oldtimers) et ZISS, EKO (plastique) en Espagne, les superbes CORGI Classics... Et, en France, l'attrayante série des "Tacots" MINIALUXE, ainsi que.... SOLIDO !

D'emblée, Solido adopta le créneau particulier des "Classiques" de l'Âge d'Or de l'automobile, dans l'entre deux guerres. Le premier modèle choisi illustre parfaitement l'esprit de cette gamme nouvelle, choisissant un modèle emblématique de la firme Mercedes à l'époque visée. (Catal. : 1964 - 1981)
Voici un fort bel exemplaire du modèle, qui est offert en version fermée; noter que sa boîte d'origine représente la version... ouverte :

Cristianu a écrit:

La seule à avoir eu une belle boite individuelle, les autres eurent des étuis pour protéger la boite vitrine puis plus rien. Évidemment elle a les suspensions .
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L'année suivante (1965), le modèle sortit aussi en version ouverte (réf. [137] (132), [Âge d'Or 3]). Ci-après, les deux versions côte à côte :

gaetan57 a écrit:

Ce modèle [137] n'est différent de la référence 132 que par sa malle arrière, sa capote et son pare-brise baissé, le châssis porte la référence 132.
Les premières versions sont livrées dans une boite jaune spécifique marquée 3 :

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Le châssis, portant l'unique référence 132, est identique sur les deux versions :

Carene a écrit:

La carrosserie est rivetée, et donc non démontable, les suspensions sont présentes.
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Les tout 1ers modèles se reconnaissent à leur absence de puits de vis pour la fixation sur un socle.

La série Âge d'Or fut ignorée par Dalia. Mais le moule partit chez BROSOL, qui en produisit les 2 versions en 1972. L'avènement (événement ?!...) de cette prestigieuse série vaut bien qu'exceptionnellement, l'on se penche un peu sur la version brésilienne, avec d'abord la 132 fermée :

peugeot203 a écrit:

Pas de différences majeures par rapport aux modèles français, si ce n'est évidemment un châssis marqué Industria Brasileira [remplaçant le "Made in France"].
Les deux modèles sont contenus dans une boîte plastique transparent avec un socle rouge.
Sur le socle est collée une étiquette portant le nom et la référence de la voiture, Ce genre d'étiquette sera utilisé sur tous les modèles contenus dans les boîte plastiques transparentes.
Les couleurs sont rouge métal ou rouge, ainsi que gris métal, les ailes et le châssis sont noirs.

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Vue sur la Toile : une Brosol SS 137 ouverte avec pare-chocs AR de la fermée (132).... et donc pas de coffre; le modèle étant neuf dans sa boîte, il ne peut s'agir que d'une variante, volontaire ou non, propre à Brosol; ci-dessous une vue AR de ce modèle, et son châssis brésilien :
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En France, les deux versions furent renumérotées respectivement [4132] et [4137] sur le catalogue Solido 1980/81, sans subir pour autant de modification particulière. Apparemment, le processus de simplification ayant touché les autres Âge d'Or apparut trop complexe à appliquer pour ce modèle, qui disparut ensuite du catalogue...

La famille des FIAT 1800 / 2100 / 2300 du début des années '60 a eu bien de la chance ! DINKY - F a superbement reproduit le break 1800 (2 phares; réf. 548, 1960), DINKY-GB la version break 2300 (4 phares; réf. 172), NOREV les 2300 berline (en plastique; réf. 38) et coupé (métal; réf. 702), et SOLIDO le.... prototype de cabriolet 2300 S présenté par GHIA sur la base du coupé (réalisé en 3 exemplaires, dont l'un au moins a survécu), mais dont Fiat abandonnera l'idée face à la mévente du coupé.
Particularité : Solido présente son cabriolet en version fermée (photos de l'intérieur alors indisponibles ?...). Un superbe modèle quoi qu'il en soit, qui figurera au catalogue Solido de 1964 à 1967. En voici quelques exemplaires, bénéficiant ici de l'exceptionnelle mise en image coutumière à cet intervenant du Forum :

Panpan a écrit:

2 châssis noirs et beige pour la bleue pas tip top mais je l'aime bien quand même.
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Voici le châssis de ce modèle :

arehobby43 a écrit:

Je viens de me rendre compte qu'il existe des variantes pour le châssis. Gris clair comme sur la mienne...

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et noir comme sur un exemplaire (gris métallisé) vu sur ebay; ou bleu métallisé...

Photo de famille, avec la 2300 coupé de NOREV, et le cabriolet proto Ghia de SOLIDO :
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DALIA produira ce modèle sous la réf. [30] (1964 ?), avec un châssis portant les noms des deux firmes :
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Le moule partira chez BROSOL en 1972, et finira au retour en 1992 chez Vérem (réf. [322] (133)) avec un châssis "Vérem".

Que d'embrouillaminis de la part de Solido pour présenter ce modèle "sport" du Mans 1961 (Ab. à 1 h. du but !), qu'on fit mine de confondre avec une GT 8 cyl. du Mans 1963 ! Chez Solido, il eut au contraire une plutôt longue carrière, restant au catalogue de 1964 à 1970.
En voici un très bel exemplaire, avec au-dessous le châssis du modèle :

Panpan a écrit:

Une classique avec ses jantes "standard".
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Pour indication, voici une photo de la vraie voiture reproduite par Solido (Le Mans 1961) :

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Dès 1964/1965, le modèle fut produit par DALIA sous la réf. [29]; en voici un exemplaire déniché sur la Toile :

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Le châssis de la Dalia porte les noms des deux marques :
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En 1970, le modèle est repris sous la marque DYNAM (réf. 15), où le moule sera modifié au niveau des passages de roues AR.
Puis, cinq ans plus tard, en 1975, le moule partira ainsi modifié chez BROSOL.

On ne reverra plus jamais cette Porsche RS61 en production depuis cette époque lointaine...

Solido nous offre une nouvelle monoplace de F. 1, avec cette Lola engagée seulement pour 1962, et qui permit au futur champion du monde (1964) John Surtees de décrocher cette année-là deux podiums. Le modèle figurera au catalogue Solido de 1964 à 1969.
Voici un exemplaire prêt à affronter la piste ( ) :

Invité a écrit:

un bolide de plus :
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Voici le châssis du modèle, avec deux couleurs bien tranchées :

Invité a écrit:

Les 2 versions en ma possession; jantes, largeur des pneus et couleur des châssis différentes.

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Noter que Solido céda à la mode des modèles chromés (Pilen, etc.), en sortant la Lola ainsi affublée (réf. 135[M]). Ce fut heureusement l'unique fois où Solido se permit ce genre de facétie...

La Lola fut produite par Dalia sous la réf. [40], avec un châssis français.


Elle ne partit pas au Brésil... Ce qui en facilita la reprise en 1995 dans la série 1100 / Nostalgia, sous la réf. [1103] (135). Voici cette version :
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Son châssis reprend l'original, avec simplement l'ajout, à l'avant, de la mention "Réédition" commune aux 12 modèles de cete série :
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Avec ce deuxième modèle, la nouvelle gamme Âge d'Or s'assure d'emblée une place définitive au Gotha de la miniature 1/43. C'est sans doute son chef d’œuvre que Solido nous offre ici ! Pour la première fois chez notre fabricant, le capot est ouvrant, laissant admirer le moteur, reproduit avec quel luxe de détail ! Cette miniature connaîtra un succès phénoménal, et sera produite, à travers divers avatars, jusque dans les années 2000...
La voiture modèle elle-même est mythique, avec son empattement de... 4,3 m. ! La Royale (entendre : voiture des Rois... qui la délaisseront !) fut construite en seulement 6 exemplaires. Son fabuleux moteur de... 12,8 L. (!) finira sur les extraordinaires autorails Bugatti... Cette version particulière de la Royale, dont la carrosserie fut dessiné par Jean Bugatti, fut la voiture personnelle du Patron (Ettore Bugatti...); elle fait aujourd'hui l'orgueil du Musée Schlumpf de Mulhouse. Elle récupéra la plaque de châssis (n° 41100) du prototype [initialement torpédo Packard] accidenté par E.B.

Voici un exemplaire de la première période de production de la miniature avec sa boîte :

dinkydo a écrit:

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Etui et cale de la 136

En voici le châssis :

christian32 a écrit:

Une Royale Solido de la première série. Roues en métal pour celle-ci, en plastique par la suite. D'après ce que j'ai pu lire, cette première série date de 64/66.

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Ce modèle Solido a une riche histoire, parfaitement illustrée par l'examen de ses châssis successifs, dont voici d'abord l'ensemble, avant un examen détaillé :

Raymond Peygond a écrit:

Quelques châssis de cette Bugatti Royale :

- Le premier châssis : portes ouvrantes, roues en zamac, pare-chocs tenu par deux tétons. [ci-dessus]
- Deuxième châssis : identique, sauf puits de vissage; roues toujours en zamac, pare-chocs toujours tenu par deux tétons et recouvrant la traverse avant.

- Troisième châssis : mention « IND BRAS », roues en plastique métallisé, portes non ouvrantes, fixation du pare-choc modifiée.
- Quatrième châssis : issu du Kit Bugatti. La mention IND BRAS » est remplacée par la mention « MADE IN FRANCE ».
- Cinquième châssis : second moule [réf. 4036, 1983].

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Le moule partit au Brésil en 1970, où il subit l'aménagement classique du châssis (Ind. Bras...).
Cette version est particulièrement intéressante, car c'est la seule Solido "brésilienne" que tout collectionneur de la Marque possède, ou peut acquérir sans se saigner aux quatre veines... En effet, le moule revint en France en 1974... Fatigué, il dut faire l'objet d'une rénovation; à cette occasion, il fut simplifié, notamment par la condamnation des portes AV. Le modèle fut alors remis en production, mais en conservant le "Ind. Bras"...
Voici un exemplaire de ce modèle, avec son châssis "brésilien" :
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olivier31 a écrit:

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En 1979, cette anomalie fut finalement détectée et rectifiée, et le "Ind. Bras." remplacé par une nouvelle gravure d'un "Made in France", comme l'explique M. Azéma dans un article de la revue Automobilia :

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Ci-dessous le châssis (en noir) de la 136 ainsi révisé, avec celui (en jaune) de la version suivante (4036), qui ouvre un nouveau chapitre pour la Royale de Solido :

RHUZ68 a écrit:

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En 1983, le moule paraît si usé qu'il faut penser à le remplacer. Après avoir envisagé de réaliser une autre version de la Royale, il apparaît que cette solution ne permet guère de réutilisation de l'existant. Aussi Solido décide-t-il finalement de ressortir le coupé Napoléon, mais complètement renouvelé par rapport à l'ancien. Cette nouvelle version (réf. 4036, gravée sous le nouveau châssis; cf. ci-dessus) rectifie principalement l'erreur commise sur le vitrage du pavillon, comme le montre cette comparaison des 2 modèles :
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Cette version connaîtra de nombreuses déclinaisons, sous la bannière "Solido", et en dehors... Mais c'est là une tout autre histoire, qui sera peut-être contée à son heure ...

Solido n'a reproduit qu'une monoplace d'IndyCar; son choix s'est porté sur un bolide certes peu glorieux sportivement, mais que distingue l'originalité de son architecture à moteur AR parmi la foule de ses concurrentes conventionnelles à moteur Offenhauser bientôt condamnées. Elle restera au catalogue Solido de 1965 à 1970, ce qui représente une jolie carrière pour cette miniature.
Voici les 2 principales couleurs offertes par Solido pour ce modèle :

Invité a écrit:

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Si le rouge paraît plus seyant, c'est pourtant le modèle bleu qui est conforme à l'originale :

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Voici le châssis du modèle :
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Elle sera produite en 1966/1967 chez Dalia sous la réf. [34], avec un châssis français.
Le modèle finira ses jours en 1970 chez Dynam sous la réf. 10.

Solido innove encore et toujours, avec ce premier modèle d'une nouvelle gamme "Haute-Fidélité", dont le nom n'a rien d'usurpé, tant la miniature regorge de détails ! Pour l'anecdote, on notera que ce modèle est le premier dont le châssis est toujours vissé. (Catal. : 1965 - 1970)
En voici deux superbes exemplaires :

rincon a écrit:

 
Oui : un véritable must, avec d'infinies combinaisons et variantes...
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Voici le châssis, super détaillé, de ce modèle :

Eb85 a écrit:

Un modèle gris métallisé (boîte VI haute fidélité).
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Cette Maserati sera produite chez Dalia en 1965/1966 sous la réf. [36], avec le châssis français.
Puis le moule ira faire un tour à Hong-Kong, chez MARX, qui fabriquera ce modèle en 1969 pour le marché nord-américain.
Brosol la fabriquera à son tour en 1972.
C'est sans doute la complexité de ce modèle, jointe à l'usure consécutive à ces pérégrinations, qui en empêchera, hélas, toute reprise ultérieure...

Solido propose encore ici un modèle exceptionnel, le premier notamment à recevoir des pièces cuivrées. Noter que la firme ne poursuit pas la numérotation propre aux Âge d'Or qu'elle avait entamée avec les modèles précédents. Elle fut renumérotée [4140] en 1980/81, sans que cela ait d'incidence sur le modèle lui-même. (Catal. : 1965 - 1981).
En voici un rutilant exemplaire (avec sa boîte) :

dinkydo a écrit:

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... Et le châssis de ce modèle :

Jiener01 a écrit:

Dans la série Age d'Or, la première version de la Panhard-Levassor 8 cyl 35 CV 1925 Landaulet en rouge bordeaux métallisé, portes avant ouvrantes.
Les accessoires sont traités dans un aspect cuivré.

Les dessous avec la présence du ressort de la suspension et l'absence du puits de fixation, le modèle est donc maintenu sur le socle par un élastique.

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La marque Panhard étant peu connue au Brésil, le modèle n'y partit pas. En France, il fut renuméroté [4140] en 1980/81, mais sans aucune modification du moule.


Verem sortit cette Panhard sous sa propre marque en 1985, avec la réf. [304] (140).

À son tour Solido la remit à son catalogue en 1997, sous la réf. [4167] :
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Pour en comprendre le châssis, il faut revenir à la version Vérem, qui y apposa sa marque en lieu et place du "Solido" originel, tout en conservant (à droite) la référence d'origine :
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Le nouveau châssis Solido est regravé du logo actuel de la marque (de type 3), effaçant le "Vérem" précédent; ce nouveau châssis est sans réf. :
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Au tout début des années 2000, Hachette proposa la Panhard landaulet 1925 dans sa série-fleuve Un siècle d'Automobile, sous le n° 36 (la voiture perdant alors ses suspensions) :
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Le châssis de cette version dérive du châssis Solido précédent; outre les modifications techniques engendrées par la disparition de la suspension, il reçoit la gravure de la référence 36 (au centre). Voici, en bas, le châssis ainsi modifié, avec, en haut, à titre de comparaison, le châssis d'origine (140) :

Carene a écrit:

Cette version, comme tous les modèles des année 80', abandonne les rivets pour des vis et perd sa suspension....
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La Panhard réapparaîtra début 2007, avec un ultime avatar sous la bannière ATLAS, dans la collection des Voitures d’exception de 1925 à 1940 (alimentée par des modèles Solido, Norev, Eligor...) :

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Ces modèles étaient produits en Thaïlande, en Chine... voire en France parfois !!   Le nom du fabricant d'origine est généralement effacé, sans être remplacé (comme l'a fait Majorette pour une série américaine). Voici le châssis de la Panhard "Atlas", où le logo "Solido" est bien effacé, et où la mention "Made in China" vient remplacer le "Made in France" d'origine :
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Solido avait produit l'Ami 6 berline, qui subit une rude concurrence (Dinky Toys, C.I.J., Norev, etc.). Aussi la firme décida-t-elle de transformer le moule, pour en faire la version break. (Catal. : 1965 → 1967 pour la 141; 1969 pour le break en coffret-cadeau 159)
Un exceptionnel nuancier :

rincon a écrit:

Petit déterrage du post pour l'Ami 6 break, dont 3 nuances de vert :

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Le châssis du break dérive de celui de la berline ([114]), avec ajout d'un pavé (réf. + date) à droite :

tino a écrit:

ma petite break
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Le break fut aussi produit par DALIA en Espagne, sous la réf. [33], en 1965.
Son châssis est identique à celui de la berline Dalia (voir, ci-après, deux photos postées par d'heureux possesseurs du modèle...). C'est le dernier à porter le nom "Dalia" (ici associé à "Solido") : tous les modèles Dalia ultérieurs reprendront le châssis français; c'est donc aussi la dernière fois que l'on mentionne ici les versions Dalia (voir la rubrique dédiée sur le Forum : [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]).


Le break ne réapparut qu'en 1992 chez VEREM sous la réf. [321] (141), avec bien sûr un châssis Vérem. Plus intéressante est l'inédite version fourgonnette tôlée qui en fut dérivée en 1993 sous la réf. [217] (141) :

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Son châssis, commun aux deux versions vitrée et tôlée, porte la marque "Vérem", qui a remplacé le logo "Solido" d'origine, et conserve le pavé de la réf. 141 :
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Effectivement ami 6 berline et break : même marquage de chassis.  
Certains (pas tous), comme ici, possèdent un petit têton à l'arrière du rivet. Pour quelle raison ? Mystère !

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rincon a écrit:

Certains (pas tous), comme ici, possèdent un petit têton à l'arrière du rivet. Pour quelle raison ? Mystère !  

Utilisé pour empêcher la rotation du crochet d'attelage dans le coffret break avec hors bord

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Très intéressante info, merci.
Un attelage similaire au tien a obtenu 2400 €uros + frais à la vente collectoys du 07/12/2019.

L'état de la voiture ne devait pas être le même et la boite vitrine devait être présente

Jiener01 a écrit:

L'état de la voiture ne devait pas être le même et la boite vitrine devait être présente

J'ai mis la photo dans la rubrique "hôtel de ventes Collectoys"

Voici un chassis de break ami 6 sans "têton", photo   tirée du net :

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Alpine est champion de France de F3 en 1964 avec H Grandsire. Solido choisit de reproduire cette monoplace, la première jamais construite par Alpine (à partir d'un châssis Brabham...).

1. Comme sur la Harvey, la petite taille des roues oblige Solido à concevoir des jantes spécifiques. (Catal. : 1965 - 1968)
   Voici un joli duo de modèles, avec, en dessous, leur châssis commun :
   
   

   tino a écrit:

   les miennes
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2. Le modèle fut ensuite repris en 1970 par DYNAM (réf. 12) :
   
   

   KifCdLeMans a écrit:

   Et voici l'Alpine F3 de Dynam ... Je l'aime déjà pas en Solido mais bon une dynam, ça ne court pas les rues.
   
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   ... dont voici le châssis. La marque "Dynam" y remplace "Solido", et la ligne "réf. + date" laisse place à la réf. Dynam ("N° 12") :
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3. SOLIDO ressortit l'Alpine en 1996 dans la série 1100 / Nostalgie, sous la réf. [1110] :
   
   

   Invité a écrit:

   
   Des copies modernes avec une variante de couleur...  
   
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   Pour en comprendre le châssis, il faut repartir du modèle Dynam (cf. (2), ci-dessus).
   Sur le châssis de la réédition "1100" (ci-dessous, modèle du bas), le logo "Solido" d'origine a repris sa place, et la mention "Réédition" a remplacé le "N° 12" Dynam. Ci-dessous, comparaison directe des châssis original (en haut), et de la réédition (en bas); on y voit bien en relief les mentions remplaçant les inscriptions liées à la version Dynam :
   
   

   Raymond Peygond a écrit:

   Ces rééditions (n°7) sont belles, mais il y a des différences au niveau des voies et des roues par rapport aux modèles originaux. [... héritage Dynam ! ]
   
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4. En 2007, Hachette et Solido lacent une série"test" de rééditions de modèles Solido de la série 100, parmi lesquelles notre Alpine, n° "5", dans une boîte rouge. Ci-dessous cette variante sur sa boîte, puis la comparaison des 2 châssis de la "1100" et du test; le châssis du test voit la mention "Made in France" (sous "Solido") effacée ( ), et l'ajout de l'indication "Hachette N° 4" à l'avant en tampographie :
   
   

   Invité a écrit:

   
   Un test Hachette pour tenter la clientèle Alpiniste.
   
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   La boîte rouge est plus sympa que la version définitive.
   
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   PS : Un très grand merci renouvelé ici à dstoys !
   

Bridé par Citroën, qui a pris les rênes de Panhard, le doyen des constructeurs tente de survivre en présentant au Salon de Paris 1963 un coupé sportif 2+2, la 24 C, flanqué dès l'année suivante d'un coach 4 places : la 24 B. Une fois encore, nos deux fabricants nationaux vont se répartir intelligemment les rôles : DINKY TOYS sort la 24 C dès 1964, et Solido propose en 1966 la BT, version mécaniquement plus poussée de la B (avec un moteur "Tigre" de 60 CV). Le modèle, très détaillé, vient rejoindre la gamme "Haute Fidélité" (catal. : 1966 - 1967).
Un exceptionnel éventail de coloris disponibles pour ce modèle :

rincon a écrit:

6 modèles différents en 5 couleurs : 2 vertes, 1 prune, 1 bleu pâle, 1 rouge rosé, 1 gris métal.
Les 2 vertes ont un intérieur différent : beige et rouge.
Ces 2 dernières sont à mon avis les plus difficiles à trouver, celle à intérieur rouge plus que celle à intérieur beige. Les boites sont toujours les mêmes.
J'ai déjà vu une rouge rosé plus claire; et il en existerait une en bleu foncé métallisé, que je n'ai jamais vue.

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Voici le châssis de ce modèle (avec sa curieuse fixation mixte vis / rivet) :

tino a écrit:

en version Solido série 100
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Il faudra attendre 1987 et les productions Vérem pour voir réapparaître ce modèle (réf. [312] (143)), avec bien sûr un châssis Vérem. Sa complexité lui aura sans doute interdit d'autres reprises...


Ce n'est qu'en 2002 que SOLIDO proposera une version coupé de la Panhard 24 (réf. [4567]), qu'il était bien sûr impossible d'ignorer ici, même si les moules n'ont aucun rapport. Fut-ce volontaire ?... Solido choisit en tout cas de ne pas doublonner avec l'ancien modèle Dinky (24 C, réf. 524), en proposant une 24 CT, variante dotée du moteur "Tigre", plus puissant de 10 CV. De plus, les deux modèles, Dinky et Solido, arborent bien sur leur couvercle de coffre le sigle spécifique : 24 C gravé pour la Dinky, 24 CT en tampographie pour la Solido; les deux miniatures sont donc parfaitement complémentaires pour le "Panhardiste" (?)...
Voici le modèle SOLIDO (série "Sixties), également disponible en série "Presse" chez Hachette (coll. Un siècle d'Automobile, n° 70) :
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Une photo montrant le sigle "24 CT" sur le capot AR :

paddyfigurine a écrit:

Pas super super détaillée mais juste de ligne - le principal, quoi!
Pas de partie ouvrante, mais des jantes très réalistes "comme la vraie" :

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Voici le châssis de la 24 CT :
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Une photo de famille, pour finir, avec, de gauche à droite : les coupés 24 C Dinky (524) et 24 CT Solido ([4567]), et un coach 24 BT Solido (143) :
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Avec cette miniature, Solido fait un clin d’œil à ses débuts, en 1932, où le tout premier modèle démontable de la série "Major" avait une carrosserie semblable, évoquant une Voisin C23 de 1931 (qui était la voiture de Ferdinand de Vazeilles )... Lancée en 1966, la Voisin restera au catalogue jusqu'en... 1981 ! Elle fut renumérotée [4144] en 1980/81, sans que cela ait d'impact sur le modèle lui-même.
Admirez ce superbe exemplaire de la version d'origine, avec sa boîte :

Raymond Peygond a écrit:

Le tout premier modèle en boite rouge (qui nous revient des USA...)
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Voici le châssis de ce modèle :
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Après cette longue carrière sous pavillon de son créateur (Solido), la Voisin ressortit chez Vérem en 1985 (réf. [303] (144)), avec bien sûr un châssis "Vérem".
Ce fut la dernière apparition de ce modèle original : Solido ne la reprit pas sous sa marque, et ne la produisit pas non plus pour Atlas...

Solido exploite le filon de l'Âge d'Or en produisant un modèle emblématique d'une marque prestigieuse de l'entre deux guerres. Lancée en 1966, la miniature connaîtra une longue carrière, cette première version restant au catalogue jusqu'en 1981.
Voici un exemplaire de la réf. 145, correspondant à une carrosserie de type "victoria" :

Carene a écrit:

Apparue en 1966, cette voiture est la 1ère (et la seule) de la série des "100" à ne pas avoir de partie ouvrante (sans doute dû à la difficulté de reproduction, notamment de la canopée en acajou de l'original...)
Le tout 1er modèle se reconnaît à l’absence de trous sur la canopée (servant au modèle Phaéton) et l'absence, sur le châssis, de puits de fixation pour le socle.
La calandre aussi est différente, puisque nickelée au lieu de chromée, et les roues sont en métal brut.

Les autres modèles que je possède sont déjà de la 2ème série; en effet, ils possèdent les petit trous sur la canopée permettant de transformer le moule à bon compte en "phaéton", et sont donc probablement postérieur à 1977... Pourtant ils ont toujours la référence 145 sur la boite.... [...]
Sa couleur verte et marron lui va très bien :
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Par la suite, outre la suspension, l'Hispano perdra ses déflecteurs de pare-brise, mais gagnera des teintes métallisées, bien peu courantes en cette fin des années 20'..... Mais ça, c'est une autre histoire !...

Une dizaine d'années plus tard, en oct. 1977, SOLIDO décline l'Hispano en phaéton, sous la réf. [62] (145), dans la série "10" inaugurée en 1972 par la Renault 5 TL. En voici un superbe exemplaire, avec sa boîte (illustrée, au dos, des 9 premiers modèles de l'Âge d'Or) :

Estaff10 a écrit:

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Les deux versions partagent le même châssis, portant la (seule) réf. 145 :

Carene a écrit:

Passons à la [victoria] blanche....
Elle a gagné un boîtage avec une fenêtre plus grande, et un carton un peu plus fin....
Question châssis, rien n'a encore changé :
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Sur le catalogue 1980/81, les deux versions seront renumérotées respectivement [4062] (phaéton) et [4145] (victoria), mais sans modification particulière.
Celles-ci interviendront en 1982, et seront suffisamment importantes pour s'accompagner (tant qu'à faire...) de la gravure (commune) sur le châssis de la nouvelle réf. 4145 :
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... Et, sous les mêmes réf. "catalogue" [4062] (phaéton) et 4145, les deux variantes de l'Hispano entament ainsi leur seconde vie !...

Solido n'a pas reproduit là son chef d’œuvre... Sortie en 1966, cette Ford tirera sa révérence fin 1970.
Voici un magnifique exemplaire avec sa boîte, et au-dessous le châssis de ce modèle :

Panpan a écrit:

Une variante on ne peut plus classique :
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En 1972, Brosol la produit au Brésil, après avoir court-circuité quelques modèles inadaptés au marché local.

... Et sa carrière s'arrêtera là. Même Vérem ne la reprit pas !
Il fut un temps envisagé de ressortir cette Ford dans la série "Sixties" (4500), mais ce projet n'aboutit pas.


Dans les temps modernes, en 2012, sous la réf. 43.424, SOLIDO produisit la (GT 40) Mk II gagnante (avec équipage B. Mc Laren / C. Amon) des 24 H du Mans 1966, l'année du fameux triplé Ford. Noter que, si la Mk II a une silhouette proche de la GT 40, elle en diffère entièrement au plan technique; à commencer par le moteur (V8), qui passe de 5 L. à 7 L. !
Le nouveau modèle, fabriqué en Chine, a un châssis en plastique noir gravé "Solido", avec la réf. complète en tampographie. Voici cette (GT 40) Mk II sur son socle :

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Du même moule, sous la référence (tampographiée) 43.751, sort la même année une version... "civile", en rouge.


En 2016, SOLIDO ressortit, en jaune (réf. [(Sport) 44/3]), la nouvelle FORD GT 40 : une voiture de salon (2002) qui donnera naissance à une lignée de "répliques" officielles simplement baptisées ensuite "FORD GT" par le constructeur.
Puis, en 2018, Solido nous offre à nouveau une "vraie" GT 40 de 1966, en blanc. Ce modèle, réf. [43/32], est produit comme le précédent à partir d'un moule issu d'une série "Presse" :
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Son châssis, en plastique noir, porte la marque "Solido" en tampographie.

Chez Solido, une Ford peut en cacher une autre... Mais, techniquement, quel contraste ! La firme réalise ici une nouvelle prouesse : pour la première fois au monde sur une miniature, l'ouverture des portes allume un plafonnier, à l'aide d'une pile, accessible par une trappe circulaire sous le châssis !
La version civile s'accompagne d'une version Rallye de Monte-Carlo (réf. 147B), dépourvue, elle, d'éclairage.
Présentée en 1966, la Mustang sera retirée du catalogue fin 1970 (fin 1971 pour la version Rallye).
Voici un exemplaire des deux variantes :

ausirdimi a écrit:

Deux petites Mustang pour moi  (la 147 bis a dû être relookée par son ancien proprio) :
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Voici deux versions successives du châssis de ce modèle; le second, avec suppression de la trappe de pile, date de la fin 1969 :

Raymond Peygond a écrit:

S'il y a le porte-pile, c'est qu'il s'agit de la première version, avec les anti-brouillards [pour la version Rallye].

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Après son retrait en France, la version civile partira chez BROSOL en 1973; elle est connue en orange, bleu et blanc. Vue sa date, la Brosol n'a pas l'éclairage intérieur (l'orifice prévu pour la pile a été obturé).
Exceptionnellement, illustrons ici cette Mustang brésilienne (version orange ici) :

jmdma a écrit:

Made in Brésil, par Brosol:

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Le châssis (noir) est gravé Ind. Bras. en lieu et place du "Made in France" (en bas, sur la gauche) :

peugeot203 a écrit:

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Puis cette Mustang disparut des étals accroche-prunelles : ni Vérem, ni Solido ne la reprirent...


En 1995, SOLIDO, démontrant une fois encore l'attention portée à son propre passé, lança la version cabriolet de la Mustang 1964, dans le cadre de son alors récente série Sixties (4500), sous la réf. [4540]; il s'agit bien sûr d'un tout nouveau moule :
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Mais son histoire sera - peut-être !...   - contée plus tard...

Dans la grande famille des Alfa Romeo Giulia (tipo 105), la TZ (Tubolare Zagato) était la version destinée à la compétition, avant que n'apparaissent les GTA. Le succès sportif de la TZ incita Solido à reproduire ce modèle; c'est plus précisément la voiture victorieuse au Critérium des Cévennes 1965 aux mains de Jean Rolland (n° de course 82) qui fut choisie. Présentée en 1966, l'Alfa TZ Solido resta au catalogue jusqu'en 1971.
Un très bel exemplaire avec sa boîte :

tino a écrit:

elle est mignonne
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En 1967, pour les... Vacances (!), Solido offrira une variante de cette Alfa affublée des oripeaux de la milice routière (réf. [221]); voici les deux variantes côte à côte :

Invité a écrit:

 Deux jolis modèles achetés lors d'une sortie en région parisienne...
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Les 2 versions ont un châssis commun, portant l'unique réf. 148 :

Eb85 a écrit:

Une rouge 82 de base :
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Le moule partit au Brésil en 1973.
Le modèle fut ensuite réédité par Vérem, sous sa marque (et avec un châssis gravé "Vérem"), à partir de 1987, sous différentes versions, dont l'originale.
Et l'on ne revit plus cette Giulia TZ...

N.-B. : À l'époque moderne, le fabricant italien BEST a reproduit l'évolution de la TZ, la TZ 2 de 1965.
Voici, côte à côte, la TZ (réf. 148) de Solido, et une TZ 2 de Best (extérieurement, c'est l'arrière surtout qui diffère sur les 2 versions) :
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Jusqu'à la fin des années '20, les anciennes Renault présentèrent une ligne originale, d'abord avec leur capot "alligator", auquel succéda en 1923 la ligne en coupe-vent; cette ligne caractéristique, très élégante, était due au fait que leur radiateur était situé derrière le moteur, spécificité qu'elles conserveront jusqu'à la toute fin des années '20. SOLIDO choisit ici de reproduire le vaisseau amiral de la flotte Renault d'alors, un modèle de grand luxe doté d'un moteur 6 cylindres de 9 L. de cylindrée !
Présentée en 1967, la miniature est au catalogue jusqu'en... 1995 ! C'est une version "Présidentielle" qui lui succédera...
Voici un très bel exemplaire, d'une des toutes premières séries, avec sa boîte :

Carene a écrit:

Avec la Bugatti, un des modèles le plus emblématique de la Série l'Âge d'Or ! Cette 40 CV a tout connu.... jusqu'aux séries presse...

Apparue avec suspensions, roues métal, accastillage métallique et doré aussi, capot moteur ouvrant, avec reproduction du moteur en métal chromé, [avec un choix de] 4 couleurs : bleu foncé, vert foncé, marron et bordeaux..... Elle sera livrée avec des plaques d'immatriculations autocollantes, qui disparaîtront ensuite.
2ème série: Idem série 1, sauf : Boîte vitrine rouge et or, miniature fixée sur le socle, jantes métal d'abords dorées puis deviennent chromées, suppression des plaques d'immatriculation.
Couleurs [de caisse] : Rouge foncé Métal, et Rouge Bordeaux Métal.

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En 1977 apparaît sous la réf. [59] une nouvelle variante de la 40 CV, un phaéton, dont la première mouture restera au catalogue jusqu'en 1981. En 1980, les deux versions sont renumérotées respectivement [4149] et [4059], sans subir pour autant de modification à ce stade.
Voici un exemplaire en boîte du phaéton :
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Les deux variantes partagent le même châssis, portant la seule réf. 149, dont les inscriptions, tout au moins, n'évolueront pas jusqu'en 1981.
Voici une excellente analyse de l'évolution de ce châssis d'un point de vue technique (pour une fois... ) :

Carene a écrit:

Le châssis est riveté pour le moteur et vissé pour la caisse, la suspension est assurée par un ressort par essieu, le tube de transmission est couplé à la boîte :

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Le châssis connait sa 1ère transformation, avec l'apparition du puits de vis de fixation au socle. Le tube de transmission n'est plus [directement] relié à la boîte (ce n'est d'ailleurs pas la boîte qui est ici reproduite, mais la turbine de refroidissement du radiateur placé juste derrière le moteur) :
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Par la suite, nouvelle transformation : le tube de transmission est tronqué :
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Puis, en 1983, sous l'ère Majorette, le modèle est simplifié. Le châssis est entièrement refait : il n'est plus riveté mais vissé, et les trains avant et arrière sont modifiés pour y supprimer la suspension et le tube de transmission... Entérinant ces profondes évolutions, le châssis reçoit la nouvelle réf. 4149, qui sera commune à toutes les versions de la 40 CV à partir de cette date (tout en restant la réf. "officielle" du landaulet) :

RHUZ68 a écrit:

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Mais ceci est le début d'une autre histoire...

C'est en 1965 qu'Oldsmobile, marque du groupe préposée à l'innovation, présente la Toronado, toute première "traction" de la General Motors. Solido se devait de profiter de l'événement pour reproduire cette impressionnante voiture... Pour la firme, c'est aussi le deuxième modèle doté d'un éclairage intérieur automatique... (Catal. : 1967 - 1973)
Voici un exemplaire superbe, avec sa boîte :

cosette a écrit:

Une sublime couleur que je n'ai jamais rencontrée ! La belle étant en vente sur IB , j'ai récupéré deux photos pour les archiver ici :
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Et voici le châssis du modèle :

jouet32 a écrit:

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Le modèle Solido ne fut repris qu'en 1986, par Vérem (réf. [407] (150)), sous sa marque, et avec un châssis "Vérem".


Lors de sa sortie, la Toronado connut un véritable engouement dans le petit monde de la Miniature; outre Solido, la reproduiront encore Politoys (567), PILEN (307), Tekno (933), ainsi que Corgi Toys (au 1/45ème). La Solido reste objectivement la plus belle de toutes ces miniatures !
Par chance, à l'époque moderne, DEL PRADO nous offrira la version de cette voiture qui succède immédiatement à la Solido, la Toronado du millésime 1967, qui se distingue par une nouvelle calandre "grillagée" (la Solido étant du millésime 1966, avec une calandre à baguettes horizontales).
Voici la Toronado 1967 de DEL PRADO :

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GM mettra fin à l'existence de la marque Oldsmobile en 2004 - elle avait été fondée en 1897; avant Renault...